Apprendre de et dans son milieu de vie
- de l’environnement de vie
- quotidien
- familiale
- sociale
- au travail
- économique
- politique
- écologique
- quotidien
Dans quelle mesure le cadre de vie interfère avec les conditions d’apprentissages ?
Peut-on créer un écosystème d’apprentissages ?
L’approche par les capabilités et le développement du pouvoir d’agir impliquent que la personne ait des ressources pouvant être mises en œuvre suivant des contextes à identifier.
La possession de droits formels (ressources) n’équivaut …pas à l’exercice effectif de droits réels (capacités).
La liberté des acteurs dépend des conditions permettant de transformer les ressources potentielles en ressources effectives par une participation active des acteurs.
D’après Albert Bandura, la théorie de l’auto-efficacité s’enracine dans une perspective sociocognitive selon laquelle interagissent trois types de facteurs dans l’existence humaine. Les relations entre les trois principales catégories de facteurs dans une causalité triadique réciproques sont : le comportement de la personne (C); les facteurs personnels interne sous forme d’événements cognitifs, émotionnels et biologiques (P); l’environnement (E).
L’efficacité personnelle perçue concerne les évaluations par l’individu de ses aptitudes personnelles, tandis que l’estime de soi concerne les évaluations de sa valeur personnelle.
D’après Charles Pépin, trois ressorts de la confiance en soi sont : la confiance en l’autre, la confiance en ses capacités et la confiance en la vie pour trouver le
courage d’affronter l’incertain des situations de notre environnement.
À la différence de l’estime de soi, qui renvoie au jugement que nous
portons sur notre valeur, la confiance en soi engage notre rapport à
l’action, notre capacité à « y aller » malgré les doutes, à nous risquer dans
un monde complexe.