Visioconférences

Calendrier prévisionnel

  • en 2025 : Claude Plocieniak « Magnésium : Le mal-aimé ? Et pourtant ! »
    Pourquoi le magnésium est-il le « parent pauvre » de la médecine, alors que son efficacité est vantée depuis l’antiquité et que nombreux sont les scientifiques qui ont prouvé le bien-fondé de sa valeur thérapeutique, et son rôle essentiel dans notre équilibre biologique, c’est-à-dire notre équilibre tout court ! En reprenant les arguments développés dans son livre paru aux éditions Librinova en 2023, Claude Plocieniak nous parlera des bienfaits pour la santé qu’apporte le magnésium.
  • en mars 2025 : Dominique Sabourdin « La démarche historique » (à l’étude).
  • 18 février 2025 : Anne-Marie Guillemard « Transition démographique ».
  • 21 janvier 2025 : Pierre Belleval « Hôpital, patients, humanité ».
    Après une évocation de son parcours professionnel et hospitalier qui l’a amené à s’engager dans une association de visiteurs de malades d’hôpital (VMEH-92), Pierre Belleval donnera une lecture de ses interventions aux bénéfices des patients, voire des opérationnels, en tant que bénévole a expérience entrepreneuriale dans un univers très professionnel, du DG aux personnes les plus nombreuses au plus près des patients : les aides soignantes.
  • 10 décembre : Dan Schurmans « Une balade dans l’espace et dans le temps ».
    Le premier point abordé sera celui de la forme : pourquoi des récits plutôt qu’un roman. D’où une définition du genre, précédents, place dans les littératures française et étrangères, particularités de la forme et du travail d’écriture.
    Le second aborde le choix des thèmes et les explique. Il y a quelques points communs entre eux : le thème de la rencontre (toutes les rencontres), l’exploration de différences entre les représentations culturelles, dans le temps et dans l’espace, et la reconnaissance de la base universelle qui les fonde.
    Enfin, je mentionnerai ce qui manque dans ces récits : les souvenirs traumatiques que je n’ai pas pu élaborer. Sans en parler davantage.
  • 22 novembre : Barbara « à propos de la culture burundaise ».
    Objet : La première édition de la journée culturelle burundaise de Liège en septembre 2024 portait sur le thème du mariage traditionnel au Burundi. Au cœur de la célébration se trouvaient le jeu des tambours, ainsi qu’une sélection de chants et danses parmi les soixante-quatre épithalames que j’ai collectés, consignés par écrit dans deux tomes, annotés, traduits en français, transcrits sur portées musicales, analysés et commentés. Purs joyaux de l’oralité, les épithalames offrent une remarquable synthèse de l’art vocal burundais en empruntant à tous les genres et à tous les styles de la tradition. Ils composent un vibrante parure de chants et de danses qui accompagne et relate les sept étapes de ce jour de fête extrêmement codifié. Ils s’associent particulièrement aux états d’âme de la mariée dont ils expriment les joies comme les peines, la lucidité souvent amère devant la nouvelle condition promise et son acceptation résignée.

C’est le moins de ce qui puisse se faire au sein d’un Collège International… n’est-ce pas ? Expliquons-nous !
Prenons d’abord la Philosophie, non comme une « discipline » à côté ou au-dessus des autres, les Sciences Humaines et Sociales, la Littérature ou les Sciences expérimentales, mais, en relançant le sens premier de ce mot, comme une « discipline » de la pensée, de « mon penser » : « Je cherche des mots pour dire mes idées et en trouvant ces mots, je trouve mes idées. » Ici, l’activité philosophique est bien vue comme un « exercice », un « travail sur soi », visant cette curieuse activité qui emplit le vécu humain, qu’il le veuille ou non, la Pensée.
Mettons ensuite que cette « mise en débat de mes idées et des idées d’autrui » se déroule au Café, à la Bibliothèque, sur la Place publique, non dans les enceintes fermées et sélectes dédiées. Reconnaissons d’ailleurs que de philosopher là où on est et avec les personnes croisées, est un retour à l’origine, le terreau initial de cette activité.
Remercions maintenant l’esprit humain qui a conçu des technologies nous permettant de nous exprimer et de débattre à plusieurs, à distance, en restant chez soi, forme de pluralité de la présence. N’oublions pas que cela représente un coût planétaire, que la « gratuité » n’est qu’apparence…
Enfin, regrettons le café, du moins son partage en commun, car chacun chez lui peut, selon son goût, s’en servir un, le partage sera dans les coeurs, pas dans la cafetière commune.
Et voici les éléments constituant un Café-Visio-Philo, pour sa forme et son esprit, le contenu étant à créer à chaque fois.
Être Collège, c’est, d’abord et avant tout, partager ensemble ce travail de la pensée… pour, n’hésitons pas, participer à changer le Monde ! Alors, à vous de vous inscrire, de participer, et que les problèmes techniques ne vous rebutent pas, nous vous aiderons.
Bien entendu, une marque particulière pour nos Collègues « bas débit », si la connexion